(...) L′album nous fait découvrir des concertos pour piano assez populaires en leur temps, où Rosetti adopte un ton, une verve, un équilibre qui se réfèrent aux premiers concertos de Mozart avec des ambitions certes plus modestes. Mais la joie qui parcourt les allegros, les langueurs énamourées des mouvements lents ou encore les subtils dialogues ente le clavier et l′orchestre possèdent une séduction immédiate - propre à bien des partitions de l′epoque classique. La Jamaicaine Nerine Barrett les défend avec une convition et une délicatesse fort plaisantes. (...) (Diapason)